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;Attention ! : <br/>Bienvenue ! Vous rentrez ici, avec la "science citoyenne", dans le contexte intellectuel du "nouveau paradigme" !<br/><br/>La nature même de cette "science citoyenne" est d'être les deux pieds dans la réalité et la tête dans le numérique. Son fond des choses est son vécu du changement de paradigme : nous décuplons la taille de l'humanité, et nous y faisons face par la science commune de l'aide '''étendue''' que nous apporte notre "'''plus machina'''" ! Que, pour cela, nous avons introduit dans notre '''espace intellectuel''' pour lui demander de l''''augmenter'''. Notre propos est, ici, d'en étudier la '''cohérence''', les conséquences, et les opportunités, qui nous concerne tous.<br/><br/>La '''science universitaire''' est l'apport éprouvé de millénaires d'adaptations méthodologiques : nous en sommes tous issus, et nous voulons tous coopérer, mais les points de vue s''''élargissent''', se '''multiplient''' et par-là se complexifient. Nous en sommes incertains faute encore d'une nomologie de référence '''cohérente''' : nous cherchons à l'étendre par des '''conjectures''' qui peuvent/doivent être réfutées ou confirmées par expérimentation en contexte réel, pour devenir scientifiques et donc transparentes, '''compréhensibles''' à tous  et '''sapiensiques''' (c'est à dire,  '''indéfiniment cohérentes''' dans notre réalité à '''tous''') pour être de '''confiance''' à '''chacun'''.<br/><br/>Avec la '''recherche institutionnelle et privée''', et forts de notre vécu de terrain, nous cherchons ensemble la technologie dont nous avons besoin et que nous financerons dans des conditions mercatiques et fiscales nouvelles que nous découvrons tous en même temps.  
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;Attention ! : <br/>Bienvenue ! Vous rentrez ici, avec la "science citoyenne", dans le contexte intellectuel du "nouveau paradigme" !<br/><br/>La nature même de cette "science citoyenne" est d'être les deux pieds dans la réalité et la tête dans le numérique. Son fond des choses est son vécu du changement de paradigme : nous décuplons la taille de l'humanité, et nous y faisons face par notre science commune habituelle et avec l'aide '''étendue''' que nous apporte notre "'''plus machina'''" !  
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Ce "plus machina", '''étend''' notre '''espace intellectuel''' et '''augmente''' certaines de nos possibilités mentales. Ce faisant il nous donne des capacités nouvelles que nous avons à apprendre et maîtriser. C'est ce que l'on appelle la capacitation numérique. Cette capacitations, ses conséquences, les opportunités qu'elles nous ouvrent, les dangers qui peuvent en découler nous concernent tous.<br/><br/>La '''science universitaire''' est l'apport éprouvé de millénaires d'adaptations méthodologiques : nous en sommes tous issus, et nous voulons tous coopérer, mais les points de vue s''''élargissent''', se '''multiplient''' et par-là se complexifient. Nous en sommes incertains faute encore d'une nomologie de référence '''cohérente''' : nous cherchons à l'étendre par des '''conjectures''' qui peuvent/doivent être réfutées ou confirmées par expérimentation en contexte réel, pour devenir scientifiques et donc transparentes, '''compréhensibles''' à tous  et '''sapiensiques''' (c'est à dire,  '''indéfiniment cohérentes''' dans notre réalité à '''tous''') pour être de '''confiance''' à '''chacun'''.<br/><br/>Avec la '''recherche institutionnelle et privée''', et forts de notre vécu de terrain, nous cherchons ensemble la technologie dont nous avons besoin et que nous financerons dans des conditions mercatiques et fiscales nouvelles que nous découvrons tous en même temps.  
  
  

Version du 2 mars 2020 à 17:07


Attention ! 

Bienvenue ! Vous rentrez ici, avec la "science citoyenne", dans le contexte intellectuel du "nouveau paradigme" !

La nature même de cette "science citoyenne" est d'être les deux pieds dans la réalité et la tête dans le numérique. Son fond des choses est son vécu du changement de paradigme : nous décuplons la taille de l'humanité, et nous y faisons face par notre science commune habituelle et avec l'aide étendue que nous apporte notre "plus machina" !

Ce "plus machina", étend notre espace intellectuel et augmente certaines de nos possibilités mentales. Ce faisant il nous donne des capacités nouvelles que nous avons à apprendre et maîtriser. C'est ce que l'on appelle la capacitation numérique. Cette capacitations, ses conséquences, les opportunités qu'elles nous ouvrent, les dangers qui peuvent en découler nous concernent tous.

La science universitaire est l'apport éprouvé de millénaires d'adaptations méthodologiques : nous en sommes tous issus, et nous voulons tous coopérer, mais les points de vue s'élargissent, se multiplient et par-là se complexifient. Nous en sommes incertains faute encore d'une nomologie de référence cohérente : nous cherchons à l'étendre par des conjectures qui peuvent/doivent être réfutées ou confirmées par expérimentation en contexte réel, pour devenir scientifiques et donc transparentes, compréhensibles à tous et sapiensiques (c'est à dire, indéfiniment cohérentes dans notre réalité à tous) pour être de confiance à chacun.

Avec la recherche institutionnelle et privée, et forts de notre vécu de terrain, nous cherchons ensemble la technologie dont nous avons besoin et que nous financerons dans des conditions mercatiques et fiscales nouvelles que nous découvrons tous en même temps.


de façon pratique 

Dans le contexte des extensions et maillages du quotidien de l"en-réseau" (complexus) de l'"homo numericus sapiens plus machina", ceci réclame :
  • une meilleure intercompréhension par une diffusion ouverte et des approfondissements partagés, résultant d'une publication, non pas soumise à comités de lecture, mais assistée par un compagnonnage de relecture ,
  • un cadre de pensée plus étendu, supporté par une terminologie "augmentée", que nous annoterons et lierons à un glossaire, dont vous serez sans doute vous-même amené à enrichir l'ontologie terminologique, afin de pouvoir pleinement décrire vos observations et présenter vos contributions),
  • une rationalité "polylectique", héritée de la fin du XIXe (Poincaré) et scientifiquement appliquée au XXe à travers la complexité (ex. Morin) dont nous devrons ajuster les méthodes aux fondements étendus,
  • une sapience polyparadigmatique de confiance capable de faciliter l'identification des points de convergence, et leur approfondissement, et des points de divergence, et leur réduction, entre les différentes modélisations culturelles, philosophiques et scientifiques.
Nous appelons ce débat de sciences, cultures et sapience celui de la diktyologie [1] humanumérique [2].


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  1. diktyologie : votre premier mot fondamental et votre première note en bas de page : la discipline scientifique de l'en réseau", du grec "diktyos", réseau.
  2. systèmique humanumérique ou anthropobotique : ce qui relève, résulte ou conduit à l'augmentation du capax humain (capacité d'adaptation augmentée) par le 'plus machina', c'est à dire l'objectivisation technologique de son autofacilitation dans le contexte offert par le numérique.