NTIX

De IRHM.MP
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Les humanités numériques, le polylogue interdisciplinaire, l'intermédiatique économique, les académies des sciences "intra muros", les États, etc. font grand cas de NTIC (nouvelles technologies de l'information et de la communication) tout en notant que ce sont dans leur domaine que l'on observe un effort particulier de recherche hors murs.

La raison en est que la recherche "intra muros" accepte la technologie et son déploiement industriel et stratégiques tel qu'ils sont (le plus grand investissement commun de l'homme), tandis que la recherche "extra-muros" qui en compte des pionniers, des développeurs et des normalisateurs, sait les limitations écopolitiques qui l'ont contrainte, et l'importance des rétro- et innovations nécessaires à la résolution de sa dette technique, et les retards de facilitation intellectuelle et de la recherche qui en sont résultés.

Ceci réclame de nouvelles technologies de l'information étendues (NTIX) aux relations, aux traitements du contexte, à la multimatique et à leurs effets. Les théories de la communication traitent du schéma entropique dialectique, dit de Shannon (qu'il a toujours récusé), de la télématique de bout en bout des clients de plateformes. L'infodynamique concerne des aspects pandisciplinaires d'importance tels que la néguentropie diktyologique, la polylectique du tous à tous, la globalité de l'interligence (le ce par quoi tout est lié) et l'approfondissement mnématique [1] de la réalité et pour cela la réintégration de la présentation sémiotique des contenus échangés (couche 6, OSI).

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  1. proposition d'Ampère, le mnème est l'accumulation présente des traces du passé d'un élément qui suscite l'ordre de ses avenirs possibles