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Dans le principe il y a l'indicible ontique et le dicible physique, puis le lisible scientifique et maintenant le numérique technologique. Il en résulte que tout schème de compréhension va d'abord réclamer pour architectonie première une ontologie terminologique : elle va permettre de dire et de documenter, moyennant un mode de raisonnement ajusté aux connaissances ainsi réunies et à l'infodynamique que nous découvrons, l'échanges synergique des savoirs acquis vers une augmentation paradigmatique du commun sapiensique, partagé entre Sapiens Sapiens.

La réflexion scientifique, philosophique, politique et économique face à la pratique technologique, notamment à partir de la réflexion sur les humanités numériques, nous a fait aborder un temps nouveau où, par son vécu, le Sapiens se découvre à son tour Numéricus. Le temps de l'humanumérique est advenu, dont il nous faut adopter la mesure dans notre quotidien le plus banal.

Pour cela nous avons eu le temps de la découverte, de l'expérimentation, du déploiement initial, de la gouvernance et de la synthèse de ce premier effort dont il est résulté la RFC 6852 "paradigme de normalisation moderne", rédigé conjointement par les Présidents de l'IEEE, de l'IAB, de l'IETF, de l'ISOC et du W3C, pour porter l'expérience normative et coopétitive de cet internet dont nos académies des sciences (S7) s'accordent pour en faire la source de l'émergence de pratiques et méthodes scientifiques nouvelles.

Nous préoccupant ici d'un des produits de cette émergence, la recherche hors murs, il importe que nos propres préoccupations et organisation soient en phase avec elle.