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Il semble que nous puissions nous accorder sur une "pile de la réalité" où dans le principe il y a le philosophique ontique, et le dicible physique, puis le lisible scientifique, et maintenant le numérique technologique.
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Il semble que nous puissions nous accorder sur une "pile de la réalité" où dans le principe il y a le philosophique ontique, et le dicible physique, puis le lisible scientifique, et maintenant le numérique technologique qui nous est nécessaire dans notre rencontre la complexité profonde.
  
 
A partir de là, tout schème de compréhension va d'abord réclamer pour base architectoniqe première une ontologie terminologique. C'est elle permettra qui permettra de dire nos observations et de participer à l'infodynamique des échanges synergiques des connaissances, de la construction des savoirs et de l'augmentation paradigmatique de nos sapience numérisée, individuelles et collective, que nous nous partageons entre "Sapiens Sapiens plus machina".  
 
A partir de là, tout schème de compréhension va d'abord réclamer pour base architectoniqe première une ontologie terminologique. C'est elle permettra qui permettra de dire nos observations et de participer à l'infodynamique des échanges synergiques des connaissances, de la construction des savoirs et de l'augmentation paradigmatique de nos sapience numérisée, individuelles et collective, que nous nous partageons entre "Sapiens Sapiens plus machina".  

Version du 4 octobre 2019 à 16:09


Il semble que nous puissions nous accorder sur une "pile de la réalité" où dans le principe il y a le philosophique ontique, et le dicible physique, puis le lisible scientifique, et maintenant le numérique technologique qui nous est nécessaire dans notre rencontre la complexité profonde.

A partir de là, tout schème de compréhension va d'abord réclamer pour base architectoniqe première une ontologie terminologique. C'est elle permettra qui permettra de dire nos observations et de participer à l'infodynamique des échanges synergiques des connaissances, de la construction des savoirs et de l'augmentation paradigmatique de nos sapience numérisée, individuelles et collective, que nous nous partageons entre "Sapiens Sapiens plus machina".

La réflexion scientifique, philosophique, politique et économique face à la pratique technologique, notamment à partir de la réflexion sur les humanités numériques, nous fait aborder un temps nouveau où, dans son vécu, le Sapiens se découvre promu Numéricus. Le temps de l'humanumérique est advenu, dont nous adoptons l'environnement pour notre quotidien le plus banal.


Pour cela nous avons eu le temps de la découverte, de l'expérimentation, du déploiement initial, de la méfiance politique et sociétale, de la gouvernance et de la synthèse de ce premier effort. Il en est résulté, pour l'instant, la RFC 6852 "paradigme de normalisation moderne", rédigé conjointement par les Présidents de l'IEEE, de l'IAB, de l'IETF, de l'ISOC et du W3C. Il porte l'expérience normative et coopétitive de cet internet dont nos académies des sciences (S7) s'accordent pour faire la source de l'émergence de pratiques, de communautés et de méthodologies scientifiques et sapiensiques nouvelles.


Nous préoccupant ici des raisons et des produits de l'émergence de la recherche hors murs, il importe que nos propres préoccupations et organisations soient en phase avec elle. Dans un premier temps, elle nous parait concerner trois grands aspects :

  • le passage d'un mode hiérarchique plus ou moins décentralisé, au mode mode hétérarchique post-moderne de l'"en-réseau", en corrélation avec un mode disciplinaire décloisonné.
  • une pratique nouvelle des échanges d'information et de protection écojuridique des données réclamant des systèmiques budgétaires nouvelles cohérente avec la multiparité sociétale (États, société civile, secteur privé, organisations internationales) consensuellement agrée pour la société de l'information et du savoir (SMSI, Tunis, 2005)
  • l'apparition d'une évolution démographie significative résultant de l'ajout de près de quarante ans à l'espérance de vie humaine, et donc à celle du chercheur, et ainsi à la maturation, et à la transmission, de ses apports. Ce que nous appellerons ici le séniorat des ... séniorants.


Organisation hétérarchique diktyologique légère ouverte à tous et au séniorat

La solution, répétée de celle d'INTLNET, mais cherchant à diposer de sa capacité budgétaire, formalisé par une SAS, tournée vers la recherche action numérique, est celle d'un secrétariat animateur et coordinateur de services ouverts à une agora épistonumérique de chercheurs contributeurs, allant du doctorant au séniorant.


Participation à l'Institut

La participation à l'IRHM se fait par simple inscription/présentation gratuite et pérenne à sa cyberagora.


Objectif de l'IRHM

Le but de l'IRHM est la publication personnelle ou commune de perférents, c'est à dire de présentations culturelles, scientifiques, technologiques et/ou sapiensiques tenues à jour, visant à alimenter la circonflexion et la compréhension paradigmatique commune.